6ème disque déjà (le premier fut enregistré il y a 13 ans) pour Reinier Voet et son Pigalle 44, excellent groupe dont on ne parle pas assez à mon goût...
Nouveau disque de Wawau Adler dont la sortie a coïncidé avec leur excellente prestation au festival de Samois en juin dernier. Bien soutenu par les fidèles Joel Löcher à la contrebasse et par Bertrand le Guillou à la guitare d’accompagnement, le virtuose allemand s’est assuré les services de la jeune violoniste Eva Slongo...
Après un premier disque remarqué en 2010, voilà le nouvel opus de Daisy Castro qui signe aussi les jolis dessins de pochette, avec un design et des photos de sa maman, Ann...
En 2010, le contrebassiste-chanteur Lucio Villani et les guitaristes Augusto Creni et Marco Maturo se rencontrent au festival de Samois et décident de fonder l’orchestre Coco...
Dès le premier morceau « la roulotte », magnifique composition bien méconnue du violoniste Léo Slab, on est sous le charme ; rien d’étonnant quand on se souvient d’ « harpiswing », excellent disque paru il y a quelques années...
Après Django interprété à la harpe par Christine Lutz, voici le hongrois Flor Gabor qui s’y colle à l’harmonica. En 2004, il a créé le Hot club de Hongrie, enregistrant deux disques avec eux. Pour ce « Merci Mr Django », il est à la tête d’un quartet à l’instrumentation originale...
En juin dernier, lors d’une fameuse soirée chez l’ami Patrus pendant le festival de Samois, le guitariste italien Daniele Gregolin m’avait sérieusement appâté avec une démo comprenant notamment quelques titres d’un CD à venir. Le voilà et c’est une belle surprise...
Le public japonais et pas mal de musiciens nippons ont été infectés par le virus de Django ; c’est le cas de Mikiko Ishiuchi, jeune violoniste inconnue au bataillon, qui rend ici hommage au quintet du hot club de France...
Pas de swing manouche ici (les frangins en ont-ils jamais joué ?) mais une approche personnelle du jazz enracinée dans la tradition musicale européenne, allant de Bach à Django en passant par les musiques slaves ; une alchimie musicale qui leur est propre.
Avec son premier disque, le guitariste Michael Gimenez nous présente un solide Trio au répertoire plutôt audacieux. Accompagné de David Gastine et de Claudius Dupont, il joue Herbie Hancock, Joshua Redman et Petrucciani comme si c’était du Minor swing...!
Après un précédent disque qui consacrait le retour à sa jeunesse et à ses racines corses, Rodolphe Raffalli revient cette année à ses premières amours : la chanson. Avec au programme des mélodies imparables de Brassens, Ferré, Aznavour et Michel Legrand...
Le groupe du guitariste Vano Bamberger existe depuis 2008 mais c’est leur premier disque ; ça valait le coup d’attendre ! Swing aux voyageurs, le premier morceau, donne le ton : un swing manouche à l’allemande dans la tradition des Hansche Weiss et Titi Winterstein de la grande époque...
Avec « Djangolized », on se dit qu’on va être embarqué pour un énième hommage à Django, soixantième anniversaire de sa mort oblige ! Et bien pas du tout ! Sans doute le disque le plus abouti d’Aurore, qui signe là une belle réussite qui donne envie d’aller écouter le quartet au méridien le 30 mai.
Excepté la relecture originale très réussie de « cher ami » de Franz Lehar, pas de swing manouche ici, même si ce seul morceau suffit pour comprendre que le quartet est aussi chez lui dans cette esthétique...
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Costar, guitare Selmer, DS bleue et pavé parisien, ce groupe danois met tous les arguments de son côté pour rappeler la grande époque du swing à Paris. Mais le plus formidable c’est que niveau musique ça assure. A découvrir de toute urgence !
Deux références soutenant et accompagnant le nouveau virtuose Jimmy Rosenberg, voilà une affiche intéressante. Une basse, une deux ou trois guitares en fonction des morceaux, c’est dépouillé dans la forme mais étonnant dans le jeu. Une petite merveille.