Combinaison savante d’un swing manouche, codé et traditionnel à un free jazz des plus audacieux... D’une originalité inouïe.

Décidément, il n’y a que des bons crus chez WASO... Un son, une ambiance, un certain sens de la décontraction et la joie de vivre.... Vous avez vu comme ils se la pètent grave sur la pochette... et ben y’s ont raison !

Un son énorme pour un très grand disque d’improvisation...
Et le tout dans un répertoire consacré à Django. De la musique belle et naturelle.

Un des premiers albums de l’incontournable Raphaël Faÿs...
Malheureusement, certains disques vieillissent assez mal.... ce qui n’est pas le cas de notre guitariste, fort heureusement !

Eh béééé... Ils sont pas peu fiers les Manouches de St Ouen ! Fiers comme un Bar-Tabac ! Et service minimum pour cet album made in Chope des Puces avec duo de guitares bien parisiennes. Entre père et fils.

Un album de référence. Matelot prend la tête de l’affiche pour enregistrer les valses de Django, mais également pour présenter un album tout en subtilité et en lyrisme. A ne pas rater !

Ca rabouine sérieusement sur cet album de Coco Briaval... En prime, le violon de Jacques Quézin, plutôt rare sur disque....

Un guitariste très discret... qui rend ici un bel hommage à Django Reinhardt.
Avec une sensibilité évidente et un son Stimer rappelant la fin des années quarante... Toute une époque...

Si en voyant la pochette vous pensez que Raphaël Faÿs joue le "MIA", détrompez-vous ! Il s’agit bien d’un album de jazz manouche, qui heureusement ne subit pas le même traitement esthétique que la pochette, ce qui ne sera pas le cas des albums suivants. Et c’est tant mieux.

Premier album du quintet de Titi Winterstein. C’est exactement comme le Häns’che Weiss Quintett sans Häns’che Weiss... mais avec la guitare à Lulu !
Et c’est reparti pour quelques fabuleux albums...

Ce disque, on en avait entendu parlé, on l’avait cherché longtemps... jusqu’à se dire que finalement, il n’existait pas. Et bien toute l’équipe de Djangostation est aujourd’hui très fière de vous présenter Hommage à Django Reinhardt... le premier disque de Môssieur Saussois !!!

Dernier album du mythique Häns’che Weiss Quinttet, c’est aussi l’occasion d’entendre trois grands solistes incontournables du style : Häns’che Weiss, Lulu Reinhardt et Titi Winterstein. Le bonheur puissance trois !

Sorti dans les années 70, cet album de Waso est assez annecdotique dans la carrière de la formation manouche : en effet Fapy, Koen, Vivi et Michael accompagnent ici le chanteur Jacques Mercier...

En regardant de près la pochette de ce disque, vous remarquerez que les musiciens de ce Hot Club façon Grappelli/Django ont tous le même costard, le même Borsalino, la même moustache. Normal vu qu’il s’agit en fait... du même bonhomme : il est comme ça, Darizcuren !

Ah...! Encore une belle pochette ! Le flou "artistique", les nymphettes, la forêt, la gratouille... et un Raphaël coiffé romantique qui va nous jouer du Dadi ! On dirait presque du David Hamilton !