Clément Reboul
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Bio tiré du site de Clément Reboul
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 Clément naît en 1990. Enfant, il s’imprègne de musique grâce à la formation classique de ses parents, guitaristes avant lui. Ce n’est que quatorze ans plus tard qu’il se voit tendre la main vers l’instrument qui a bercé son enfance. Il met alors sa belle résolution au service de la musique, devenant rapidement passion. Mais Django ; il ne le connaît pas encore. Alors, en attendant de croiser la voie du Maître, c’est par la guitare électrique et le picking que Clément commence. Il prend des cours pendant deux ans avec Angelo Petronio ; cela lui permet d’acquérir les bases nécessaires. Et voilà qu’ il découvre à juste quinze ans le génie de Django Reinhardt. Dès lors, éperdument épris de cette musique, il écoute également ceux qui ont su perpétuer le talent fou du virtuose. L’acharnement avec lequel il travaille ne connaît pas de limite ; gammes et arpèges ornent son quotidien ; il écoute, réécoute, relève les chorus des musiciens qu’il admire tant, affinant ainsi son sens précieux de l’audition. Au cours de l’été 2006, il réalise un stage avec Samuel Strouk. Celui-ci lui transmet les bases de l’improvisation ainsi que l’importance du métronome et c’est avec une implacable rigueur qu’il en fera dès lors l’usage.
Les mois se succèdent, les progrès ne cessent de croître, les influences se font nouvelles. En effet, si Clément obtient son baccalauréat à l’été 2008, il découvre également l’univers virtuose de Sébastien Giniaux et d’Adrien Moignard ; ce qui aura par la suite une forte influence sur son jeu. Les concerts se faisant de plus en plus fréquent dès 2009, il range ses cours de faculté et cédant ainsi à sa passion, il prend le chemin ouvert juste devant lui. Il se produit effectivement très souvent au sein de diverses formations dans les bars de la capitale, notamment avec le Sara French Quintette ou encore, Jérémie Tordjman and Co. En plus de quoi il s’est déjà produit sur la scène du festival Django Reinhardt de Samois-sur-Seine, du festival Swing 41 de Salbris, du festival Django de Liberchies, du festival des puces de St-Ouen, du Quecumbar, du Royal Albert Hall de Londres, du festival Django l’H de Barcelone…
Et voilà qu’aujourd’hui, il ne cesse de toucher au cœur ceux qui l’écoutent, délivrant avec une rare finesse, l’histoire d’une précieuse jeunesse, d’une réelle sensibilité, sa musicalité si prometteuse." |
