Audacieuse formation pour un répertoire à trois temps... Avec Escoudé dans le rôle de Malla et chauffe Marcel chauffe Azzola dans celui du Tatave Viseur !
Le furieux et mythique guitariste de Schnuckenack Reinhardt prend ses distances (relatives) d’avec les rabouinades énervées pour nous livrer un disque plus intimiste qui fait la part belle aux ballades sensibles et raffinées... Un quart ou un demi sucre dans votre thé...?
Etonnante musique que celle proposée par le trio Cordacor dans les années 80-90... Un violon, une guitare et une contrebasse dont les cordes rappellent autant Django que Debussy...
De jolis moments de musique qu’on aime enregistrés live à Samois en 1987... Avec en prime une des dernières apparitions de Matelo, entouré des fistons. Emouvant et festif.
Premier album solo de l’éclectique John Jorgenson, qui sait jouer tous les styles, et celui de Django en particulier. En plus, le bonhomme taquinne également de la clarinette, et plutôt bien... Avec Dave Grisman en prime. Les connaisseurs apprécieront.
L’album du grand retour de Babik Reinhardt, mais peut-être aussi l’album du renouveau et de l’émancipation. Plus question ici de jazz à la Django ; Babik fait... du Babik.
Naissance d’un style...
Sur une belle pochette signée d’Emiel de Cauter, le papa, Koen le fiston signe une très jolie épitaphe pour notre ami Django... Certes, Django n’est plus et Fapy a quitté le navire ; mais la musique de Waso n’a rien de funéraire, on l’aime toujours autant !
Op... Op... Op... Opaaaaaaaaaaaaahhh ! Douille... Douille... Douille... Latcho Douille Douille !!! Un live terriblement réjouissant qui donne envie de parler par on-op-op-omaaatopées !!
Jazz manouche : mode d’emploi ! Un grand disque de Charles Wizen & Raphaël Faÿs. Avec des chorus à foison et à apprendre par coeur (et certains ne s’en sont pas privé !). Pas un disque, une évidence...!
Second album de Dorado Schmitt... qui l’a rendu célèbre. Ben oui, la première version du tube Bossa Dorado, vous la trouverez ici. Tout comme celle de Natascha... Pour toi commence, oui déjàààààà....une autre viiiiie....
Première formation de Mandino Reinhardt, Sweet Chorus nous proposait ici un répertoire de compositions étonnantes... avec une trompette (!) et un vibraphone (!!). Et déjà une jolie complicité entre Marcel Loeffler et Mandino.
Entre les Waso et le magnifique Fleur de lavende de 1990, Fapy Lafertin nous concoctait encore une petite merveille de musicalité : ce joli Hot Club Quartet où l’on pouvait redécouvrir quelques perles rares de Django et aussi une petite valse qui a depuis fait son chemin...
Le violoniste Chela Weiss aujourd’hui disparu fut l’homme d’un seul disque : Maro Drom. A ses côtés, on pouvait aussi entendre le très rare Gallo Weiss à la déjà très grosse guitare de Lorraine... Nom d’une quiche !
On retrouvera beaucoup de poésie, d’émotion, de fantaisie et de délicatesse dans cet album de Francis A. Moerman. Un Infini voyage qui donne le goût des contes, du souvenir et des vagabondages...
Trois grands gratteux réunis sur un même disque... ça fait forcément un disque plein de guitare. Et quand en plus il s’agit de trois pointures... ça fait forcément de la bonne guitare ! Un disque plein de bonne guitare, donc...
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Le groupe du guitariste Vano Bamberger existe depuis 2008 mais c’est leur premier disque ; ça valait le coup d’attendre ! Swing aux voyageurs, le premier morceau, donne le ton : un swing manouche à l’allemande dans la tradition des Hansche Weiss et Titi Winterstein de la grande époque...
Pour les amateurs de record du monde de note à la seconde, c’est pas le meilleur disque. Mais quel son ! Un parfait hommage à Django. Dommage qu’il soit difficile à trouver.