Théâtre antique | Gipsy Jazz 20h30
 Trio Rosenberg invite Bernard Berkhout & Didier Lockwood
 Les Enfants de Django : Hommage à Django
Samson Schmitt, Yorgui Loeffler, Mike Reinhardt, Mayo Hubert, Gigi Loeffler (g), Jean-luc Miotti (b)
 Lemmy Constantine : Meeting Sinatra & Django

Le Club de Minuit - 23h30
Lemmy Constantine : Meeting Sinatra & Django

Jazz Mix | Swing Tzigane
 Poum Tchack

Le programme complet du festival :
http://www.jazzavienne.com

Présentation par le festival :
Le Trio Rosenberg, c’est l’histoire de trois inséparables cousins des Pays-Bas animés d’une seule passion : la musique. Vitesse, finesse, sensibilité… Stochelo, figure de proue et soliste du trio, domine sa guitare avec un brio tout à fait fascinant. Le Trio Rosenberg exporte l’art manouche sur les scènes du monde entier depuis la fin des années 80. En 1989, le trio fait un triomphe au festival de Samois-sur-Seine. La même année, ils sortent leur premier album (Seresta). En une décennie et huit albums, la popularité du trio devient énorme. Au seuil des années 2000, Stochelo commence à développer certains projets en marge du trio. Il collabore ainsi avec le guitariste Romane, puis sort enfin un album sous son seul nom (Ready’n’Able). Stochelo est aujourd’hui largement reconnu de par le monde comme l’un des plus talentueux héritiers de Django. Qui dit Django dit Stéphane Grappelli, qui dit Grappelli dit violon… Et donc Lockwood !

Didier Lockwood et son violon versatile, tour à tour avant-gardiste ou honorant la tradition, Lockwood qui a indiscutablement marqué la scène jazz internationale.
Le violoniste naît à Calais en 1956. À l’issue d’un cursus classique au conservatoire, il découvre l'improvisation et, à 17 ans, fait ainsi irruption sur la scène du rock progressif (jazz rock) alors en plein bouillonnement, au sein du mythique Magma. Bientôt, c’est le jazz swing, en la personne du légendaire Stéphane Grappeli, qui l’adoube. Il n’a alors que 21 ans. Didier Lockwood célébrait en 2004, notamment sur la scène de Jazz à Vienne, ses 30 ans de carrière. Avec plus de 30 albums dans ses bagages, plus de 3 000 concerts aux quatre coins du monde et des dizaines de rencontres inoubliables, le violoniste calaisien peut s’enorgueillir d’un parcours royal.
Les Rosenberg et Lockwood : une histoire de purs virtuoses, une rencontre au sommet. Règlement de comptes à Swing Corral.

Les enfants de Django : un projet original qui réunit deux, puis trois guitaristes parmi les plus talentueux de la jeune génération du jazz manouche. Héritier de Django, donc, jeune émule de Biréli Lagrène, Yorgui Loeffler est notamment souvent décrit comme le nouveau virtuose du genre. Samson Schmitt, quant à lui, suit naturellement les traces de son perfectionniste de père, le déjà légendaire Dorado Schmitt, symbole d’un jazz manouche bourré d’innovations rythmiques et harmoniques.

Rejoint par Mike Reinhardt, guitariste électrique (avec Didier Lockwood ou le Gipsy Project), le duo de base devient un trio impressionnant de facilité et de vigueur. Pour mieux dompter leur swing racé, nos trois jeunes monstres s’entourent alors pour la scène de deux guitaristes rythmiques (cinq guitares au total, soit trente cordes de métal en vibrations perpétuelles !) et d’une contrebasse. Le sextet offre un jazz libre, tout en rondeur et traversé de soli étourdissants. Une musique optimiste et généreuse qui revisite les grands standards du maître Django, bien sûr, tout en en proposant constamment une nouvelle lecture, toujours respectueuse de la tradition. Une tradition guitaristique remontant aux rois oubliés de la guitare musette, Gusti Malha et Mattéo Garcia et à Django Reinhardt.

Une tradition, une musique à laquelle tous ont été biberonnés dès le plus jeune âge.

Les enfants de Django : une histoire d’héritage, une histoire de clan, une histoire de famille.

Line-up : Samson Schmitt, Yorgui Loeffler, Mike Reinhardt, Myo Hubert, Gigi Loeffler (g), Jean-luc Miotti (b)